La quatrième théorie politique

Ce sera le thème d’un débat vidéo Paris-Moscou organisé par l’Agence d’information internationale de Russie RIA Novosti, le 26 février 2014. Participants : Alexandre Dougine, Alexandre Prokhanov et Alain de benoist.

PoliticaMente

Dans la dernière livraison de cette revue mensuelle italienne (www.politicamente.net), un article : »Socialismo. Né destra né sinistra ».

Il Foglio

Dans la quotidien italien Il Foglio, une interview brute et sans état d’âme :« Brutta e senz’anima, la Francia racontata da Alain de Benoist« ?

Non à la théorie du genre

Non à la théorie du genre Editions Mordicus, 4,95 €

Les réformes « sociétales » mises en oeuvre par le gouvernement de François Hollande, à commencer par le « mariage pour tous », font une large part à la théorie du genre. Celle-ci se retrouve ainsi propulsée au centre du débat. Mais de quoi s’agit-il exactement ?

La théorie du genre trouve son origine dans le féminisme égalitaire, qui soutient que l’égalité ne sera vraiment acquise entre les hommes et les femmes que lorsque rien ne les distinguera plus vraiment. Son credo de base est que le sexe biologique ne détermine en aucune façon l’identité sexuelle. L’identité sexuelle serait une pure « construction sociale » qui ne serait absolument pas conditionnée par l’appartenance sexuée. L’individu étant sexuellement « neutre » à la naissance, les différences de comportement que l’on observe entre les garçons et les filles, puis entre les hommes et les femmes, s’expliqueraient uniquement par l’intériorisation de « stéréotypes » qu’il conviendrait donc de « déconstruire » dès le plus jeune âge, en particulier à l’école.

Relevant du fantasme d’auto-engendrement et de la mystique de l’indistinction, la théorie du genre repose en fait sur un certain nombre d’erreurs fondamentales. Alain de Benoist en fait ici une critique de fond, solidement argumentée, qui n’a pas de mal à faire apparaître son caractère proprement délirant. Et sa nocivité.